mardi 19 octobre 2010

Chimie et tendresse

Je ne suis pas de celles qui ferme les portes...

Après une rupture je ne ferme jamais complètement la porte, sauf a une exception près ou celle la est fermée a double tour et avec la petite chaîne. Les hommes avec qui j'ai partagée ma vie que se soit quelques instant, quelques jours, quelques mois ont tous laissé leurs empreinte sur moi, des souvenirs aussi clair qu'une émission de télévision qu'on adore et qu'on se repasse dans sa tête. C'est pourquoi vous décrire les événements passés sont si facile pour moi.

Pour revenir au début, je jasait avec un ex récemment retrouvé grâce a facebook de nos souvenirs et notre relations qui a quand même durée plus de deux ans, d'entendre dire avec autant de clarté que moi les souvenirs qu'il avait était absurde. D'entendre sa vision des faits était drôle et chaleureuse, mais ce qui ma surpris le plus c'est qu'il me disait a quel point je voulais tout le temps baisé, sans arrêt que j'étais quasiment nymphomane, j'aime le sexe, la chaleur humaine et comme vous avez lu précédemment j'ai des "rush" de cul, mais quand nous étions ensemble je n'ai jamais eu l'impression que nous étions toujours entrain de baiser, bien au contraire. Même que la première fois que j'avais vu sa verge j'avais eu peur tellement elle était grosse. Dans ma tête d'adolescente il était hors de question que se bat de baseball la me déchire l'entre-jambes jusqu'à l'anus.

Mais quand les hormones et la chimie y est cela n'a aucune importance. Il était d'une douceur incroyable et son énorme verge me faisais tellement de bien que pour moi c'était la façon dont une jeune fille se faisais aimé, c'était ça l'amour, pas seulement faire l'amour, mais se fondre un dans l'autre, je me donnais sans cesse a cet homme, mon premier amour. La vie a décidé que nos chemins allais prendre des chemins différents ce qui m'a terriblement blessé mais mon plus beau souvenir de nous deux reste le jour on nous nous sommes revus quelques années plus tard. Il m'avais invité chez eux dans son appart qu'il partageais avec sa nouvelles blonde. Elle m'avais même invité a passer la nuit ce que j'ai dû faire puisque le dernier bus étais déjà passé, malgré mon refus répété.

Ce fut une des plus étrange soirée de ma vie, non parce que j'étais mal à l'aise ou que la jalousie de les voir heureux, mais le fait que la chimie entre nous deux était palpable a des milles à la ronde, le feeling de mettre des vieilles pantoufles confortable, qu'elle se soit couchée de bonne heure et qu'il soit resté une bonne partie de la nuit avec moi dans le salon sans jamais succombé à l'électricité évidente. On a jasé couchée sur le matelas gonflables comme des adolescentes pendant des heures alors que dans ma tête sa blonde était l'autre côtés de la porte, dans ses yeux le confort et sous son pantalon sont sexe bandé comme un cheval. Il a attendu que je m'endorme vêtue de son vieux t-shirt des hornets, je l'ai sentie m'enlever les cheveux de mon visage, s'approcher de ma nuque et il m'a sentie comme on sent le parfum d'une fleur et il es parti rejoindre sa blonde.

A mon reveil elle était partie travaillée et il était la juste à côté sur la causeuse défraîchie avec sa manette de jeux à la main et le sourire le plus nono que j'ai jamais vu.

- Tu peux dormir encore il es de bonne heure
- Non ca va, que je lui ai répondu et le poussant pour me laisser une place
- Tu a faim? J'ai du beurre de peanut mais t'aime pas ça, j'ai de la confiture aux fraises mais ca non plus t'aime pas ca, qu'il m'a dit avec son sourire niait au visage.
- Non ca va merci, je vais me ramasser quelque chose avant de prendre le bus, a quel heure le prochain?
- .... tu part tout de suite?
- Faudrait bien que je rentre chez nous me changer
- Il part dans 20 minutes, je vais aller te reconduire à l'arrêt

Je voulais pas partir sa présence me manquais, mais je savais que si je ne partais pas toute de suite la seule personne qui aurais mal ce serais moi, il était amoureux d'une autre, elle était vraiment gentille, je n'étais pas à ma place. J'ai revêtue ma robe d'été la plus sexy que j'avais mise dans le but de le faire complètement craquer la veille, mais elle était maintenant froissée et n'avais plus sa raison d'être. Pourquoi avais-je mis cette robe la?

On a marché jusqu'à l'arrêt je ne pensais même pas aller me chercher quelque chose au dépanneur, tout ce que je réussissais a faire était de me perdre dans ses yeux. Il s'est approchée tranquillement de moi, a glissé sa main sur ma joue et s'est penchée pour m'embrasser, mon réflexe a été de me reculer, j'étais sur mes gardes, il avait quelqu'un, je ne voulais plus avoir mal, aujourd'hui encore je revois l'autobus arriver au même moment et que je me suis sauvée sans jamais regarder en arrière, je crois sincèrement que c'est pour ca que je ne ferme jamais la porte, j'aime me souvenir de ses moments là, j'aime le suspense, que les situations n'aie pas de fin...

mardi 10 août 2010

Méchandre et le Midnight Dungeon

J'habitais toujours chez ma mère à l'époque ou nos échange cochons sur internet on débuté. Des les premières lignes ma petite culotte mouillais, avec toutes les choses que je lisais je ne pouvais m'empêcher de me masturber, pour la première fois mes sens ne suivait plus tellement j'étais excitée, je devais te rencontrer.

Quand j'ai su à deux heures du matin que tu habitais a moins de cinq minutes de chez moi, je n'ai même pas hésité deux secondes, j'ai enfilée ma jupe la plus courte, ma camisole blanche qui laissais apercevoir vulgairement mes mamelons.

Une maison digne d'un film d'horreur, bâtit dans les années 60 avec un trottoir sinueux qui menais vers ta porte. L'idée qu'il pouvais m'arriver quelque chose de grave a suscité en moi une excitation hors du commun, je n'étais pas du tout effrayé. Tu a ouvert la porte et je t'ai aperçue.

Ouf!! Quel homme, pas un de ses minables petit garçons que j'avais eu auparavant, un homme un vrai, bâtit comme un cheval, à la carrure d'un joueur de football, une mâchoire carré avec une barbe de quelques jours, le poil chez un homme m'excite me rappelle la senteur, de la testostérones pure.

Tu m'a invité à rentrer, ma offerte un verre de vin, voulant faire une demoiselle de moi j'ai accepté en sachant très bien que je détestais le vin, cet arrière goût amer je ne mis habituerais jamais. Puis je t'ai demandé

- Est-ce que tu aurais du fort à la place
- ...Oui mais juste du Jack Daniels, que tu ma répondu surpris le sourire au lèvres
- Good.. un double sur glace si tu en a
- La demoiselle aime ca ruff qu'il ma dit en sortant les glaçons du congélateur
- Tu n'a pas idée a quel point, ai-je répondue

Tu a versé deux verres, pendant que je t'examinais comme une bœuf de qualité triple A en me mordant les lèvres. Lorsque tu ma tendu le verre en se dirigeant vers ton canapé on discutais de tout et de rien, en s'effleurant de temps en temps. Le décor était sombre mais tellement excitant, le bruit de la musique en arrière plan me donnais envie de toi. Tu t'es approché de plus en plus en glissant ta main sur ma cuisse et tu a agrippé ta caméra sur la table devant toi pour photographié les parties que tu découvrais unes a unes. J'étais complètement sous ton charme, comme un cobaye. Tes grandes mains parcourrais de nouveau mes jambes délicatement,tu a déposé ta caméra lorsque j'ai commencer à parcourir le tiens.

Tu a fais glissé mes culottes tout en m'allongeant sur le canapé, tes lèvres se sont approchés de mon clitoris et tu a délicatement tourné ta langue autour de mon clitoris, j'avais des spasmes, des frissons, tu m'agaçais avec ta langue de façon a ce que j'en veulent toujours plus. Je t'ai repoussé violemment j'ai littéralement arraché ton chandail, défait ta ceinture et en deux temps trois mouvement tu étais en boxer devant moi, j'ai glissé ma main dans ton boxer pour découvrir la plus grosse queue de ma vie. Tu ma transporté dans tes bras jusque dans ton lit ou tu ma étendue tout en m'embrassant le cou, le torse et tu mangeais mes seins si délicatement et perversement en même temps, mon corps hurlais de plaisir, tel des chocs jusque dans ma colonne et mes orteils, le plaisir que tu me donnais était indescriptible. J'ai ensuite pris ton énorme verge dans ma bouche, il n'en a pas fallu longtemps pour que ton corps réagissent de la même façon que moi quelques minutes auparavant. La lueur des blacklight reflétais sur chaque partie de ton corps comme un bonbon prêt a être savouré j'ai parcouru avec ma langue chaque pouces de ta peau, je te voulais en moi terriblement, mais je voyais a quel point tu étais hésitant. Tu avais surement déjà fait mal a quelqu'un avec ton énorme boyau. Je t'ai sucer et tu me mangeais, parfois tu venais chatouillé l'ouverture de mon vagin avec ton gland rouge feu, tu m'embrassais et on continuais a se manger mutuellement jusqu'à l'orgasme le plus violent de ma vie et se après de multiples jouissance.

Même si tu ne m'a jamais pénétré, je peux aujourd'hui t'avouer que toi Méchandre tu es l'homme qui n'a jamais été dépasser, non par la taille de ton sexe, mais par tes milles autres façons de m'avoir fait découvrir l'excitement, l'envie et surtout qu'une femme se doit de se faire découvrir au moins une fois par toi dans sa vie. La chimie sexuelle entre deux personnes est indispensable au bonheur sexuel. Même si encore aujourd'hui je rêve de ta verge en moi et que je ne te reverrai surement jamais parce que la vie est faites ainsi, je garde de toi le plus beaux souvenir celui du premier baiser a me faire perdre mes moyens, a me rendre les genoux mous, la chatte en feu et les yeux remplis de feux d'artifices.

mardi 3 août 2010

Baseball et champs d'épices

Je te croisais dans les corridors de l'école, je te déshabillais des yeux, je te regardais au travers des vieux rideaux du salon de mon amie, tu jouais au baseball avec tes amis. J'aurais liché la sueur qui coulait lentement dans ton cou comme un cornet.

Le jour ou nous étions assis sur son balcon et que tu nous a invité à aller joué avec vous, j'ai sincèrement eu peur, peur de bégayer, je ne savais pas joué, je ne connaissais ni les règles, ni tes amis. Mais j'y suis allé quand même. Chaque soir après ca je me masturbais avec l'image de tes grandes mains sur mes seins, ta sueur qui dégoutais le long de ton torse.

Une belle journée d'été on cherchais tes balles de baseball dans le champs au bout de la rue, on était seul et me penchant pour en ramasser une, je t'ai regardé, toi toujours debout et j'ai dézipé ton pantalon. J'ai remplis ta queue de bave tout en te jouant avec les testicules. Tes genoux tremblais. Ta verge était tellement belle et chaude, ca ne fût pas long avant que tu jouisse dans ma bouche et quelle surprise j'ai eu quand le goût de ton sperme était épicé. J'ai bien nettoyé le tout qui était ultra-sensible, j'ai essuyé le coin de ma bouche, je t'ai redonné ta balle, j'ai souri, j'ai pris ma bicyclette et je suis rentrée à la maison.

Je t'ai fais le coup souvent, te prendre par surprise dans les bois près de chez toi, dans ta salle de bain pendant un match de lutte pay-per-view que t'avais loué. Chaque fois tu étais surpris, je ne t'ai jamais rien demandé en retour, j'étais simplement curieuse, est-ce que ton alimentation coïncidais avec ton goût. Finalement je ne sais toujours pas et c'est fou a quel point même 15 ans plus tard je me pose toujours la question, mais je dois t'avouer qu'aucune autre queue ne goûte aussi bonne que la tienne, que personne ne tremble comme toi et que c'est vraiment drôle quand tu voulais des crossettes mexicaines quand je suis la seule a savoir que tu goûte épicé.

dimanche 1 août 2010

Hypocampe et Coquillages

Comme l'expliquais si bien le salaud dans son billet sur la canicule. Baiser en canicule c'est un must.

L'été de mes 16 ans, j'étais partie en vacances avec mon père et mon frère dans le sud des États-Unis. Sachant très bien que je serai probablement entouré de gens plus âgé que mon père j'avais pris soin avec ma naïveté d'adolescente de me trouvé une queue de voyage sur le net quelques jours avant mon départ. J'avais trouvé le candidat idéal, mais je devais le rencontrer avant puisque dans ce temps là, je n'avais pas de webcam je ne suis même pas certaine que ca existais.

On s'était donné comme point de rencontre le centre commercial tout près à 13h. J'avais enfiler mon premier maillot deux pièces turquoise avec des hippocampes et des coquillage et une petite robe soleil blanche, en sortant j'avais longée le grand miroir et je crois que c'est la fois ou je m'étais trouvée le plus bandante. Je traverse le boulevard la tête haute un peu trop même je regardais les nuages en formes de boules de ouates, j'allais retrouvée le grand au chandail gris. Mes petites gougounes flick flackais sur le plancher de marbre crème de l'immense centre commercial jusqu'à l'immense plan devant moi. En posant mon doigt sur la liste j'ai vu que l'arcade était juste a droite, j'ai penchée ma tête pour l'apercevoir qui m'attendais impatiemment. Je me suis cachée aussitôt, m'adossant à l'immense panneaux, j'ai fermé les yeux en me demandant qu'est-ce que je pouvais bien être en train de faire a 3000 miles de chez nous à rencontrer un pur inconnu. Soudainement le danger m'excitais en regardant une autre fois j'ai pu l'apercevoir comme il faut, le visage de Paul Walker, les cheveux blond court frisé, mince. J'ai pris mon courage a deux mains et je suis allée le rejoindre.

Dans le miroir j'étais vraiment sexe, aucune raison qu'il ne veulent pas de moi et sinon ben tant pis il doit ben avoir un ami semi-moche dans l'arcade. Il me fixais, j'ai bombé ma poitrine comme appât sorti mon sourire colgate.

Hi David?
Uh Uh Uh Uh Y yyyeah!
I'm Eli, what do you want to do?
Uh Uh Uh walk?

De nulle part mon rire blondasse est sorti, sois il bégayais sois il voulais partir en courant ou sois son coulis de bave qui le trahissais et ses yeux fixé a ma poitrine le rendais complètement hors de lui. On s'est promener, il es devenu plus a l'aise, on a fumé un joint dans un petit boisé tout près du centre commercial et on a pris l'autobus jusqu'à chez lui.

Vingt cinq minutes plus tard il me prend par la main et me fais descendre dans un parc de maison mobile digne de plusieurs films de gangster américain. On entre dans la deuxième, la verte, celle qui a du contre plaqué dans les fenêtres avant. Je ne dis rien mes yeux ne cesse d'emmagasiner le décor, des boites partout empilé jusqu'au plafond, des milliers de guguses, des bibelots et dans toute ce fouillis un dame maigre d'une quarantaine d'année se berce dans sa chaise avec une clope à la main et me fait un bonjour tremblant de la main. J'ai stoppé, je me suis fais une place sur le vieux divan parmi les journaux, les magasines. Je lui ai jasé, une femme maltraité par la vie, une qui vivais dans ses souvenirs accumulé avec le temps Il ma regardé stupéfait, ce n'est que plus tard que j'ai su que sa mère ne parlais jamais a personne, personne ne l'approchais jamais.

Un peu plus tard on es allé dans sa chambre, il a mis ses cd's de musique de hard rock/métal. Il était beau, il faisais hyper chaud tellement que ma robe était littéralement collé a ma peau. Il ma embrassé nerveusement entre deux fous rires. La chaleur était insupportable, j'ai enlevé ma robe, il a enlevé son t-shirt et ma littéralement sauté dessus, ses hormones était cavales. Il a défait les lacets de mon haut de bikini et a mangé mes seins comme un déchainé, je sentais la sueur coulé le long de mon dos. J'ai glissé ma main dans ses shorts j'ai agrippé ses testicules ensuite sa verge. Le train était parti rien n'aurais pu l'arrêter. Il a arraché le bas de mon bikinis et me tapais la vulve avec sa verge, m'agaçais il riais.

You want it!
Give it to me...
Nah han
Please(long soupir) please give it

Il continuais de m'agacer en massant fermemant mes seins. Je me suis rassise.

Now you give it to me or..
Or what?

On avais les cheveux trempé, la sueur nous dégoulinais partout.

Or I'll rape the living shit out of you!

En m'approchant, il ma tiré vers lui et ma assise directement sur sa grosse queue dure, si violament que j'ai lâché un de ses cri de jouissance jusqu'à aujourd'hui inégalé. Elle était si profonde si dure nos corps glissant en parfaite harmonie comme si nous étions remplis d'huile. L'excitation était palpable, il défonçait ma petite chatte comme jamais, mes mains grafignais son dos, je tirais ses cheveux, je l'ai même mordu. Il ma ensuite prise par en arrière me tirant par les cheveux, les hanches, je sentais sa poche claqué contre mon clitoris. J'avais des frissons a 40 celcius, mon corps était raide, il a hurlé il est venu sur mon cul quelques secondes après que ma chatte hors de contrôle et ultra sensible s'est contracté au point de trembler de jouissance. On s'est effondrés sur son lit et on a ri en chœur. J'ai repris l'autobus, je suis repartie chez moi le lendemain et je ne l'ai plus jamais revue.

La chaleur et les canicules c'est ca que ca fait, peu importe avec qui et ou.

mercredi 28 juillet 2010

Que du brun

C'est assez ironique de se faire ouvrir la porte du Tim Hortons par un gars avec une coupe Longueuil. Parce que dans ma tête le lien ne se fait pas. Sûrement un de ses fils a maman des années 60 qui n'a jamais sorti de son sous-sol, devenu adolescent il a troqué sa guitare contre le char qu'il conduis aujourd'hui et il en prend soin de son vieux plymouth brun. Il aurais du devenir un mauvais garçon avec ses jeans serré. Sa mère a du lui inculquer jeune d'être un gentleman et dois encore choisir son linge, ou une Ginette au chandail de loup.

En ligne derrière les Ma tante Lucie et Mon oncle Gaston de ce monde, je le sentais me reluquer, je sentais presque son souffle dans mon coup, en général j'aime assez mon espace personnel et il dépassais de loin cette bulle, je me sus changée les idées en réalisant que je n'avais jamais baisé dans une auto, j'avais fais des fellation a un gars en roulant sur la 40 direction Québec et on avais fini notre course dans le fossé et un vieux pick-up brun était venu nous sortir de la avant que j'aie le temps de finir.

En parlant de brun j'avais un copain noir au secondaire qui avait un fétiche de pied assez absurde tellement que la première fois qu'on avait été présenté il m'avais dénudé le pied, lorsque j'ai eu la soudaine impression que je me ferai frenché le pied en plein centre commercial. Il était drôle, charmant il ma même offerte mon premier souper en tête-à-tête, il m'aurais donné la lune. Je l'ai revue il n'y a pas très longtemps à son travail, je le rend gaga qu'il me dis tout le temps, il y a cette chimie entre nous deux qui fait que j'aurais voulue qu'il aie ce qu'il désirais tant depuis une bonne dizaine d'années. J'apercevais les toilettes du coin de l'œil mais quelque chose me retenais.

Je n'ai jamais réussi a me rendre plus loin que la première base, non parce qu'il était noir mais parce que son nez était tellement gros que toute image cochonne que je commençais a avoir disparaissait soudainement et son gros pif refaisais surface.

Il me faudrait un sac brun

mardi 27 juillet 2010

Les Listes et les machos

Je ne sais pas si certaine d'entre vous, plus particulièrement les filles "actives" ont déjà essayé de compilé des listes de personnes avec qui vous aviez couchée? J'ai essayé tant bien que mal de le faire mais plus la liste avançais plus elle était longue et plus je feelais salope, je ne regrette aucunement mes aventures sexuelles mais quand je regarde cette première ébauche je me dis que si j'aurais été payés pour toute les gestes sexuel que j'ai posé dans ma vie j'aurais un méchant bon coussin dans mon compte de banque.

Sans me justifiée, je sais que je l'ai fait parce que j'avais une soif de chair humaine, qui est toujours aussi pesante aujourd'hui, bien sûr il a des journées ou je n'en ai aucunement envie surtout quand j'ai la tête remplis de petits tracas quotidien, mais justement le sexe pour moi me libère de ses questionnements, dans l'acte, la passion, le moment je ne pense a rien sauf procurer du plaisir à l'autre en me satisfaisant moi-même, l'excitement de l'autre qui se dégage par sa voix, son souffle, son corps joue systématiquement dans l'augmentation de mon désir. J'aime performer dans la vie, mais surtout que les gens ne sache aucunement dans la vie en générale que je suis comme ça au lit. J'aime être la surprise, j'aime que les hommes qui s'attendait a ce que je soit qu'un vide sperme me quitte avec le souvenir gravé en mémoire et disparaître après. Est-ce que ma conduite avec les "hommes morceaux de viande" était exemplaire? Jamais!

Les femmes nous avons se "pouvoir sexuel" qui fait en sorte que a peu près n'importe quelle d'entre nous peuvent réussir a se faire baiser quand bon nous semble. Pour un homme c'est beaucoup plus difficile. Je ne me suis jamais servie de ce "pouvoir" dans mes relations amoureuses, mais surtout avec les hommes qui du haut de leurs piédestal de macho se croyais les maîtres du monde, j'ai toujours se plaisir sadique de les faires prendre une débarque, de leurs offrir l'éden de les faires s'attacher a mon cul, mes seins, mon corps mais surtout ma bouche pour disparaître dans la brume. Comprenez moi bien je ne ferai jamais ça au hommes sain, ceux qui comprennent qu'en respectant une femme ils auront beaucoup plus. Les "machos" ont seulement la monnaie de leurs pièces dans mon cas. Je vais surement vous en raconter quelques exemples dans les prochains billets.

lundi 26 juillet 2010

Cette senteur cette drogue

Quand tu es jeune, en pleine croissance et les hormones dans le tapis tu te es prête a n'importe quoi pour un gars. Comme pédaler 20 kilomètres avec une bicyclette beaucoup trop petite, mais l'avantage d'une bicyclette trop petite c'est définitivement les frottements du vagin contre le siège. Je m'étais finalement rendue au petit village voisin les jambes molles, les sous-vêtements prise entre les lèvres, il était venu me rejoindre avec son vtt, on avait caché ma bicyclette dans une partie du boisé tout près de la route de terre.

Agrippé a son chandail, les vibrations du moteur, le cuir du siège était assez pour me donner l'envie qu'il s'arrête la, mais j'avais une certaine crainte, je n'avais jamais eu un homme en moi. Il s'est arrêté dans une clairière à mi-chemin entre le boisé et sa maison, il me parlais de choses qui le passionnais, de sa cabane de chasse, puis tout à coup. Il s'approche soudainement et m'embrasse dans sauvagement en m'adossant a un arbre, quelle force il avait on était loin des caresses douces de mes voisines. A ce moment j'ai eu ma première dose de testostérone, la clairière en débordais, j'avais l'impression que cette sensation allais rapidement devenir une drogue.

Aujourd'hui je la sens des miles a la ronde, ça ne s'explique pas vraiment mais certains homme en dégage beaucoup plus que d'autres et chaque fois je mouille instantané.

Avec nos visages remplis de boue nous avons continuer notre chemin vers sa maison, il n'y avait personne, il est allé prendre sa douche, j'ai voulu aller le rejoindre, j'étais de l'autre côté de la porte la main sur la poignée prête à aller le rejoindre, mais j'étais si débutante, si il ne me trouvais pas belle, je ne savais pas comment réagir, figée dans l'inexpérience qui m'habitais, je voulais me déshabiller me glisser derrière lui et le masturber doucement...il avait fini, j'ai accouru dans sa chambre.

- Ah ça fait du bien! qu'il a dit
- J'ai pas de linge de rechange
- Attend je vais te prêter mes boxer pis un chandail, si tu veux y aller

J'ai pris son linge je suis rentrée dans la salle de bain a mon tour, j'ai partie l'eau, toute nue j'ai collé son linge sous mon nez elle était encore la son odeur, la testostérone fraîche et un mélange de sunlight, je suis restée ainsi un bon 2 minutes avant d'entrer dans la douche avant de me laver aussi rapidement que possible, si cette senteur venais de lui je me devais d'enfoncer mon nez dans le pli de son cou le plus rapidement possible. J'ai enfiler son linge et gardant le col de son chandail près de mon nez en sortant de la salle de bain.

- Ça pue? qu'il ma dit visiblement craintif
- Non, non ça sent vraiment bon
- Ma mère prend du sunlight
- ça sent le sunlight mais c'est ta senteur que j'aime encore plus
- Ma senteur???

Les rôles se sont inversé assez rapidement, j'avais enfin retrouvée ma drive de prédateur, en m'approchant vers lui doucement j'ai senti son cou, je l'ai embrassé doucement dans le cou, mordiller son lobe d'oreille en lui chuchotant ta senteur me donne envie d'être tannante. J'ai n'ai rien eu a rajoutée il m'avais prise dans ses bras et m'avait emmené sur son lit en m'embrassant passionnément et férocement, je l'ai retournée, j'ai embrassé son corps encore un peu mouillé en longant le début de pilosité qu'il commençais a avoir jusqu'à l'élastique de ses boxer, son sexe était dur comme de la roche, je n'avais jamais fait de fellation avant mais j'y suis allée quand même avec douceur au début tournant ma langue doucement autour de son gland, le long de sa verge j'ai léché son sac, que j'ai agrippé en le massant et j'ai enfoncé sa verge dans le plus profond de ma gorge l'entourant des mes lèvres, ses jambes on raidi ses orteilles courbée mon fait comprendre que j'étais pas si mal, donc j'ai continuée en activant en m'imaginant sucer un gros popsicle, ses genoux se sont mis a claquer ensemble, les spasmes dans ses jambes sont dos était abasourdissant, il a éjaculé dans ma bouche au même moment, j'ai tout avalé.

- Oufffffff! On a affaire a une experte.
- Euh.. c'était ma première fois, j'espère que je t'ai pas fait mal
- Mal! Mais attend la ta dit que c'est la première fois que tu suce?
- ....ouin
- My god
- Quoi
- Tu suce ben en tabarouette
- ..... merci, t'aurais tu quelque chose a boire?

Il ma regardé le sourire aux lèvres couché dans ses draps de satins s'est levé est revenu au bout d'un moment avec une débarbouillette mauve et un verre de jus de raisin, les deux affaires que je déteste le plus au monde, mais je m'en foutais, j'ai calé le verre en me disant que le sperme c'était amer mais ça doit être chiant avoir ça collé partout quand tu te branle, alors c'était pas si pire.

- merci
- j'ai une question?
- quoi
- est-ce que t'es encore vierge?
- ben... ben j'ai jamais couché avec un gars au complet la
- ....

Son sourire en disait aussi long que ma soudaine gêne, il ne voudrais plus de moi parce j'ai pas assez d'expérience! Il ma interrompu dans mes pensée avec un bec dans le cou et un maudit que t'es belle. Ma couchée sur le dos, ma embrassée si tendrement, il a jouer dans mes cheveux. J'en avais des frissons, sa senteur si près de moi me rendais folle, je voulais pour la première fois qu'il me fasse l'amour, je voulais m'abandonner complètement dans ses bras, il a enlevé son chandail que je portais après avoir glissé doucement ses mains dessous et caressé mes seins, ensuite ses boxers ont suivi, il me regardais droit dans les yeux. Me demandais si j'étais correcte en glissant ses mains sur mon ventre, mes hanches. Fait moi l'amour que je lui ai dit. Il se perché au dessus de moi et s'est lentement inséré en moi. La sensation que j'ai ressenti a ce moment la indescriptible, un mélange de frissons, de serré, de durcissement, un pouls. Il allais et venais en moi si délicatement en augmentant la cadence. C'était tellement bon, les draps de satin dans mon dos, sa senteur, son sexe dur, les draps était trempé, je ne voulais pas que ça finisse, j'ai agrippé ses hanches en le suppliant entre deux trois respire profond d'y aller plus fort, j'ai agrippé l'oreiller d'une main, je l'ai mordu, l'autre sur son torse, je sentais son coeur battre a tout rompre à travers sa peau moite. Au bord de l'orgasme j'ai criée DÉFONCE MOI!!! Mon dos a courbé et je suis venue au même moment que lui. Quelle première expérience ce fut.

Quelques heures plus tard j'ai retrouvée ma bicyclette et je suis rentrée à la maison pour voir que ce n'était pas juste moi qui avait eu droit a un déluge, le saguenay aussi. On es sorti ensemble pendant un bout, mais je me suis rendue compte avec le temps que je l'utilisais plus physiquement qu'autre chose, il s'attachait je me détachais, je voulais sa queue c'est tout. Il était le premier d'une longue lignée de ceux qui s'attacherait sans que moi j'en trouve la capacité d'en faire autant. La senteur m'attirais vers eux...