mercredi 28 juillet 2010

Que du brun

C'est assez ironique de se faire ouvrir la porte du Tim Hortons par un gars avec une coupe Longueuil. Parce que dans ma tête le lien ne se fait pas. Sûrement un de ses fils a maman des années 60 qui n'a jamais sorti de son sous-sol, devenu adolescent il a troqué sa guitare contre le char qu'il conduis aujourd'hui et il en prend soin de son vieux plymouth brun. Il aurais du devenir un mauvais garçon avec ses jeans serré. Sa mère a du lui inculquer jeune d'être un gentleman et dois encore choisir son linge, ou une Ginette au chandail de loup.

En ligne derrière les Ma tante Lucie et Mon oncle Gaston de ce monde, je le sentais me reluquer, je sentais presque son souffle dans mon coup, en général j'aime assez mon espace personnel et il dépassais de loin cette bulle, je me sus changée les idées en réalisant que je n'avais jamais baisé dans une auto, j'avais fais des fellation a un gars en roulant sur la 40 direction Québec et on avais fini notre course dans le fossé et un vieux pick-up brun était venu nous sortir de la avant que j'aie le temps de finir.

En parlant de brun j'avais un copain noir au secondaire qui avait un fétiche de pied assez absurde tellement que la première fois qu'on avait été présenté il m'avais dénudé le pied, lorsque j'ai eu la soudaine impression que je me ferai frenché le pied en plein centre commercial. Il était drôle, charmant il ma même offerte mon premier souper en tête-à-tête, il m'aurais donné la lune. Je l'ai revue il n'y a pas très longtemps à son travail, je le rend gaga qu'il me dis tout le temps, il y a cette chimie entre nous deux qui fait que j'aurais voulue qu'il aie ce qu'il désirais tant depuis une bonne dizaine d'années. J'apercevais les toilettes du coin de l'œil mais quelque chose me retenais.

Je n'ai jamais réussi a me rendre plus loin que la première base, non parce qu'il était noir mais parce que son nez était tellement gros que toute image cochonne que je commençais a avoir disparaissait soudainement et son gros pif refaisais surface.

Il me faudrait un sac brun

mardi 27 juillet 2010

Les Listes et les machos

Je ne sais pas si certaine d'entre vous, plus particulièrement les filles "actives" ont déjà essayé de compilé des listes de personnes avec qui vous aviez couchée? J'ai essayé tant bien que mal de le faire mais plus la liste avançais plus elle était longue et plus je feelais salope, je ne regrette aucunement mes aventures sexuelles mais quand je regarde cette première ébauche je me dis que si j'aurais été payés pour toute les gestes sexuel que j'ai posé dans ma vie j'aurais un méchant bon coussin dans mon compte de banque.

Sans me justifiée, je sais que je l'ai fait parce que j'avais une soif de chair humaine, qui est toujours aussi pesante aujourd'hui, bien sûr il a des journées ou je n'en ai aucunement envie surtout quand j'ai la tête remplis de petits tracas quotidien, mais justement le sexe pour moi me libère de ses questionnements, dans l'acte, la passion, le moment je ne pense a rien sauf procurer du plaisir à l'autre en me satisfaisant moi-même, l'excitement de l'autre qui se dégage par sa voix, son souffle, son corps joue systématiquement dans l'augmentation de mon désir. J'aime performer dans la vie, mais surtout que les gens ne sache aucunement dans la vie en générale que je suis comme ça au lit. J'aime être la surprise, j'aime que les hommes qui s'attendait a ce que je soit qu'un vide sperme me quitte avec le souvenir gravé en mémoire et disparaître après. Est-ce que ma conduite avec les "hommes morceaux de viande" était exemplaire? Jamais!

Les femmes nous avons se "pouvoir sexuel" qui fait en sorte que a peu près n'importe quelle d'entre nous peuvent réussir a se faire baiser quand bon nous semble. Pour un homme c'est beaucoup plus difficile. Je ne me suis jamais servie de ce "pouvoir" dans mes relations amoureuses, mais surtout avec les hommes qui du haut de leurs piédestal de macho se croyais les maîtres du monde, j'ai toujours se plaisir sadique de les faires prendre une débarque, de leurs offrir l'éden de les faires s'attacher a mon cul, mes seins, mon corps mais surtout ma bouche pour disparaître dans la brume. Comprenez moi bien je ne ferai jamais ça au hommes sain, ceux qui comprennent qu'en respectant une femme ils auront beaucoup plus. Les "machos" ont seulement la monnaie de leurs pièces dans mon cas. Je vais surement vous en raconter quelques exemples dans les prochains billets.

lundi 26 juillet 2010

Cette senteur cette drogue

Quand tu es jeune, en pleine croissance et les hormones dans le tapis tu te es prête a n'importe quoi pour un gars. Comme pédaler 20 kilomètres avec une bicyclette beaucoup trop petite, mais l'avantage d'une bicyclette trop petite c'est définitivement les frottements du vagin contre le siège. Je m'étais finalement rendue au petit village voisin les jambes molles, les sous-vêtements prise entre les lèvres, il était venu me rejoindre avec son vtt, on avait caché ma bicyclette dans une partie du boisé tout près de la route de terre.

Agrippé a son chandail, les vibrations du moteur, le cuir du siège était assez pour me donner l'envie qu'il s'arrête la, mais j'avais une certaine crainte, je n'avais jamais eu un homme en moi. Il s'est arrêté dans une clairière à mi-chemin entre le boisé et sa maison, il me parlais de choses qui le passionnais, de sa cabane de chasse, puis tout à coup. Il s'approche soudainement et m'embrasse dans sauvagement en m'adossant a un arbre, quelle force il avait on était loin des caresses douces de mes voisines. A ce moment j'ai eu ma première dose de testostérone, la clairière en débordais, j'avais l'impression que cette sensation allais rapidement devenir une drogue.

Aujourd'hui je la sens des miles a la ronde, ça ne s'explique pas vraiment mais certains homme en dégage beaucoup plus que d'autres et chaque fois je mouille instantané.

Avec nos visages remplis de boue nous avons continuer notre chemin vers sa maison, il n'y avait personne, il est allé prendre sa douche, j'ai voulu aller le rejoindre, j'étais de l'autre côté de la porte la main sur la poignée prête à aller le rejoindre, mais j'étais si débutante, si il ne me trouvais pas belle, je ne savais pas comment réagir, figée dans l'inexpérience qui m'habitais, je voulais me déshabiller me glisser derrière lui et le masturber doucement...il avait fini, j'ai accouru dans sa chambre.

- Ah ça fait du bien! qu'il a dit
- J'ai pas de linge de rechange
- Attend je vais te prêter mes boxer pis un chandail, si tu veux y aller

J'ai pris son linge je suis rentrée dans la salle de bain a mon tour, j'ai partie l'eau, toute nue j'ai collé son linge sous mon nez elle était encore la son odeur, la testostérone fraîche et un mélange de sunlight, je suis restée ainsi un bon 2 minutes avant d'entrer dans la douche avant de me laver aussi rapidement que possible, si cette senteur venais de lui je me devais d'enfoncer mon nez dans le pli de son cou le plus rapidement possible. J'ai enfiler son linge et gardant le col de son chandail près de mon nez en sortant de la salle de bain.

- Ça pue? qu'il ma dit visiblement craintif
- Non, non ça sent vraiment bon
- Ma mère prend du sunlight
- ça sent le sunlight mais c'est ta senteur que j'aime encore plus
- Ma senteur???

Les rôles se sont inversé assez rapidement, j'avais enfin retrouvée ma drive de prédateur, en m'approchant vers lui doucement j'ai senti son cou, je l'ai embrassé doucement dans le cou, mordiller son lobe d'oreille en lui chuchotant ta senteur me donne envie d'être tannante. J'ai n'ai rien eu a rajoutée il m'avais prise dans ses bras et m'avait emmené sur son lit en m'embrassant passionnément et férocement, je l'ai retournée, j'ai embrassé son corps encore un peu mouillé en longant le début de pilosité qu'il commençais a avoir jusqu'à l'élastique de ses boxer, son sexe était dur comme de la roche, je n'avais jamais fait de fellation avant mais j'y suis allée quand même avec douceur au début tournant ma langue doucement autour de son gland, le long de sa verge j'ai léché son sac, que j'ai agrippé en le massant et j'ai enfoncé sa verge dans le plus profond de ma gorge l'entourant des mes lèvres, ses jambes on raidi ses orteilles courbée mon fait comprendre que j'étais pas si mal, donc j'ai continuée en activant en m'imaginant sucer un gros popsicle, ses genoux se sont mis a claquer ensemble, les spasmes dans ses jambes sont dos était abasourdissant, il a éjaculé dans ma bouche au même moment, j'ai tout avalé.

- Oufffffff! On a affaire a une experte.
- Euh.. c'était ma première fois, j'espère que je t'ai pas fait mal
- Mal! Mais attend la ta dit que c'est la première fois que tu suce?
- ....ouin
- My god
- Quoi
- Tu suce ben en tabarouette
- ..... merci, t'aurais tu quelque chose a boire?

Il ma regardé le sourire aux lèvres couché dans ses draps de satins s'est levé est revenu au bout d'un moment avec une débarbouillette mauve et un verre de jus de raisin, les deux affaires que je déteste le plus au monde, mais je m'en foutais, j'ai calé le verre en me disant que le sperme c'était amer mais ça doit être chiant avoir ça collé partout quand tu te branle, alors c'était pas si pire.

- merci
- j'ai une question?
- quoi
- est-ce que t'es encore vierge?
- ben... ben j'ai jamais couché avec un gars au complet la
- ....

Son sourire en disait aussi long que ma soudaine gêne, il ne voudrais plus de moi parce j'ai pas assez d'expérience! Il ma interrompu dans mes pensée avec un bec dans le cou et un maudit que t'es belle. Ma couchée sur le dos, ma embrassée si tendrement, il a jouer dans mes cheveux. J'en avais des frissons, sa senteur si près de moi me rendais folle, je voulais pour la première fois qu'il me fasse l'amour, je voulais m'abandonner complètement dans ses bras, il a enlevé son chandail que je portais après avoir glissé doucement ses mains dessous et caressé mes seins, ensuite ses boxers ont suivi, il me regardais droit dans les yeux. Me demandais si j'étais correcte en glissant ses mains sur mon ventre, mes hanches. Fait moi l'amour que je lui ai dit. Il se perché au dessus de moi et s'est lentement inséré en moi. La sensation que j'ai ressenti a ce moment la indescriptible, un mélange de frissons, de serré, de durcissement, un pouls. Il allais et venais en moi si délicatement en augmentant la cadence. C'était tellement bon, les draps de satin dans mon dos, sa senteur, son sexe dur, les draps était trempé, je ne voulais pas que ça finisse, j'ai agrippé ses hanches en le suppliant entre deux trois respire profond d'y aller plus fort, j'ai agrippé l'oreiller d'une main, je l'ai mordu, l'autre sur son torse, je sentais son coeur battre a tout rompre à travers sa peau moite. Au bord de l'orgasme j'ai criée DÉFONCE MOI!!! Mon dos a courbé et je suis venue au même moment que lui. Quelle première expérience ce fut.

Quelques heures plus tard j'ai retrouvée ma bicyclette et je suis rentrée à la maison pour voir que ce n'était pas juste moi qui avait eu droit a un déluge, le saguenay aussi. On es sorti ensemble pendant un bout, mais je me suis rendue compte avec le temps que je l'utilisais plus physiquement qu'autre chose, il s'attachait je me détachais, je voulais sa queue c'est tout. Il était le premier d'une longue lignée de ceux qui s'attacherait sans que moi j'en trouve la capacité d'en faire autant. La senteur m'attirais vers eux...

jeudi 22 juillet 2010

L'été de mes 12 ans

Sur ma rue il y avait une dizaine de filles de mon âge avec qui je jouais tout le temps depuis mon arrivée à l'âge de 5 ans. Quand la puberté est arrivée que mes seins ont gonflé au point de bien remplir une main d'homme, mes hormones était pris dans le disco-ronde je voulais touché à tout ce qui était de la chair, surtout celle des jeune filles de mon entourage, je voulais être la "player" de toute la rue, lécher les petits seins pulpeux et dur de mon voisinage, glisser ma main dans leurs petites culottes fraisinette, jusqu'au jour ou j'ai invitée la première fille avec qui j'avais été amie en déménageant sur ma rue.

Elle était si belle, si tentante, je n'ai pu m'empêcher de la complimenté sur ses beaux seins, je lui ai posé des questions sur sa brassière qu'elle ma montré sans même hésiter, elle en était si fière. Je me suis alors mise derrière elle avec le prétexte de savoir comment sa s'attachait puisque j'ai seulement des brassière sport, je lui ai lentement détaché, j'ai caressé sa nuque, glissé mes mains au travers de ses long cheveux, la tentation était palpable, ma petite culotte était trempé. Je lui ai alors chuchoté à l'oreille ferme tes yeux, je lui ai retiré délicatement son soutien gorge, j'ai embrassé son cou et agripper délicatement ses seins, elle s'est retourné vers moi, je croirai que mon règne sur la délicate petite voisine était terminé, juste avant de pouvoir m'excuser de l'avoir touché comme j'en avais rêvé, elle a touché les miens et on s'est embrassé, mon coeur battais si fort que je le ressentais dans les parois de mon vagin, je l'aurais agrippé si sauvagement, adossé contre le mur, mais elle était si fragile. C'est la que je lui ai retiré sa petit culotte et touché maladroitement sa petite vulve qui ne demandais qu'a être défoncé. Ce que j'aurais donné a cet âge la pour avoir un pénis, pour la dépuceler sur le champ. J'ai alors retiré la mienne je me suis étendue a ses côtés dans mon lit pris sa jambe l'ai tiré vers moi pour former un début de ciseaux et nous nous sommes embrassé, touché, caressé, frotté jusqu'à ne plus être capable de supporter nos frottements.

Elle est partie le sourire au lèvres ce qui ma soulager puisque tout le long l'arrière pensée d'être entrain de prendre avantage d'elle, de l'avoir entraînée dans mes filets pour ma propre satisfaction était présente. Elle n'aurais pas du sourire, parce que ça m'aurais empêcher de recommencer la même chose sur le reste du voisinage, mise a part une qui n'a jamais succombé. J'allais commencé le secondaire et la plus part des gens avaient peur de leurs rentrée la mienne était synonyme de plusieurs autres "victime de ma séduction". J'allais pouvoir expérimenté la vie avec plusieurs autres jeunes, touché de la chair fraîche et peut-être pouvoir sentir une vrai queue en moi mais avant je me devais de prendre de l'expérience, apprendre comment faire succomber les autres a la tentation de la chair fraîche.

mercredi 21 juillet 2010

Il y a toujours de la lumière derrière le rideau la nuit parce que..

J'écoute de la porn amateur sur cam4
J'écoute de la porn sur pornhub
Je load de la porn hardcore
Je me masturbe en pensant a tout les hommes que j'ai eu, que je voulais, que je veux en ce moment et aux filles que j'ai délicieusement découvertes.
Je parle avec mes amis en ligne qui ne dorment pas eu aussi
J'appelle mon ancien amants pour l'entendre se masturbé et gémir
Je me pose milles et une questions sur la vie entre deux roulade de bille.
Je prend ma douche a 3am pour avoir le jet massage directement sur mon clitoris
J'imagine un inconnu rentré chez nous, me forcer à lui sucer la queue et qui m'agrippe les cheveux a deux mains et que mon voisin entendent et monte voir ce qui se passe et se branle jusqu'a ce que je l'invite a me défoncé le cul pendant que l'autre me prend avec sa grosse queue et qui fini par me tapper les deux queue sur le bord de la bouche.
Tout ca ne m'épuise jamais assez pour m'endormir avant 4 ou 5 heure du matin.

I really need a cock right now

Charlie the Spaceman et les divans

Chaque Jour au travail je l'aperçois, il passe devant mon bureau a 15h, si je suis chanceuse il osera me regarder ou même passer 2 ou 3 fois avant, il est pressé, toujours occupé, dans la lune et marche comme Charlie Brown. Mon premier jour au travail il m'avait abordé étendu sur le sofa de la salle de break, me posant mille et une questions aussi inutile que les autres pendant que j'essayais de manger ma lasagne stouffers comme une demoiselle.

- T'habite loin?
- A 5 mins en auto, c'est pas si pire!
- Ca me bat pas j'habite en face

Sur le coup je savais pas pourquoi il me posait toutes ses questions la, j'imagine que la nouvelle piquais sa curiosité, il ne se passe pas grand chose au travail, je l'avais sortie de sa lune quasi permanente quelques minutes. C'était assez pour que mes pensées se chamboulent, qu'un soir sur deux je me masturbe en pensant à lui qui me prendrais comme un déchaîné en me tirant par les cheveux dans les coins noirs de la job.

Je ne crois jamais avoir laissé paraître toutes les saloperies que je lui ferais subir même si j'ai toujours été amicale avec lui, lors d'un souper bénéfice arrosé pour le travail j'avais clairement l'intention de profité de la soirée et par chance sentir son sexe dur en moi dans les toilettes. Mais notre premier contant fut au bar lorsqu'il m'a dit bonsoir madame Élisabeth un Jack Daniel's à la main et moi de sourire poliment un bonsoir et de retourner tranquillement à ma table, j'ai mangé, bu et je ne pouvais détourné mon regard de sa table, ma petite culotte était mouillée je voulais sentir son souffle dans mon cou, ses gémissement dans mes oreilles.

Sur la piste de danse je n'étais même pas capable de le regarder en plein visage il dansais tout près. Si c'est vrai que les hommes baisent comme il danse j'imaginais qu'il y aurais beaucoup de tape sur les fesses puisqu'il ne cessait de taper des mains et de faire les pas d'un ado dans une danse 12-17ans. La seule approche que j'ai réussi c'est de lui inséré le "lightstick" dans la poche de sa chemise de sourire et de continué a danser nu pieds dans ma robe qui remontais mes seins jusqu'au Nunavut, j'étais relaxe mais il étais évident qu'il préférais la collègue, j'allais restée avec mes fantasmes. Épuisée j'ai quitté la salle pour me rendre à la sortie arrière qui menais au parking arrière sans oublier mon arrêt au puits et c'est la que je l'ai vu seul assis sur un divans près des toilettes qui fixais le lightstick qu'il faisais tourné dans ses doigts avec un air penseur.

- Ça va?
- Oui (visiblement ébranlé de son retour sur terre) il ma souri
- Ok! (sourire) je vais faire pipi

Visiblement les toilettes étais tout près et j'ai recommencer a fantasmé sur le champ, j'ai poussé la porte et je suis arrivée face-a-face avec la collègue, j'ai enlevé mes talons, déchiré mes bas de nylons que j'ai enfoncé dans la poubelle. J'ai poussé la porte pour les apercevoir fumant une cigarette j'ai marché nu pied jusqu'à mon auto juste en face ouvert la porte mis mes espadrilles, lancé mes talons haut sur la banquette arrière en lâchant un soupir de soulagement j'ai relevé les yeux pour m'apercevoir qu'il me fixais.

J'étais juste plus capable que j'ai dit en riant, j'ai ouvert ma porte en appuyant sur la valise par mégarde, je l'ai refermé sous leurs yeux qui ne me lâchais pas. Assise derrière le volant je suis partie alors que je savais pertinemment que j'étais proche de la limite permise d'alcool. Une fois à la maison, j'ai défait mes cheveux, enlevée ma robe et me suis couchée nu dans mon lit, j'ai versé une larme.

Si seulement j'avais eu un divan ou une navette spatial....

Je continue d'être fine, détachée, si seulement il savais toutes les choses que je lui ferai je vous jure qu'il ne resterai pas longtemps sur la lune et que le divan serai usé.

mardi 20 juillet 2010

Mon premier pénis

Mon premier tout petit pénis pré pubère circoncis de mon petit voisin 4 ans mon cadet, je l'avais entraîner dans mon sous-sol lors d'un party de noël de voisinage, je m'étais frotté dessus comme une déchaînée, je l'avais masturbé, ma mère est descendue on a arrêté, le lendemain dans la lune je me suis masturbée devant la télé en y repensant le seul hic c'est que ma mère était à côté, je pense que c'est la que j'ai réalisée qu'a gâcherais toujours mes partys. Je me suis voulue d'avoir profitez de son corps jusqu'à tout récemment sur facebook ou je me suis excusé de toutes les fois qu'on avait joué au docteur alors qu'il était si jeune, il ma alors répondu qu'il n'y avait aucune raison de s'excuser et que y repensant il était bandé et aurais aimé avoir eu la chance de me pénétré quand mes 36C sont apparue de nulle part quelques années plus tard. J'espère juste que son pénis a grossit sinon je plaint sa blonde.

Les Meilleurs Drinks

Il concocte les meilleurs drinks, son sourire illumine n'importe quelle touriste en manque d'affection, elles ont tous l'impression d'être la femme la plus importante quand il la regarde avec ses yeux bruns qui la déshabille. Ses lèvres leurs donnent le goût de goûter a cette chair fraîche, les bikinis se mouillent sans avoir touché à l'eau. Il n'a jamais choisi d'être là, la vie lui a montré que c'était le seul moyen de subvenir au besoin de sa mère et de sa grand-mère.

Malgré sa façon maladroite de s'exprimer dans une autre langue que la sienne, j'ai bu ses paroles, fixé ses yeux avec la seule envie d'en connaître plus sur sa vie, pour une fois dans ma vie je n'avais pas besoin de parlé, une question ici, un sourire par la, un pesos en échange d'une partielle de son quotidien. L'eau azur était a une dizaine de pas de moi, le sable chaud, les beaux hommes, les ma tantes en manque, les vieux québécois et leurs progénitures pré pubère qui me fessait rire n'était en rien aussi captivant que le vécu de cet homme.

Le premier soir que je l'ai aperçue au loin j'entrais dans le restos ouvert près de la plage, l'électricité dans l'air que je ressentais jusque dans les orteils, comme si les planète c'était aligné cet inconnu qui ma souri et tiré ma chaise pour que je m'assoie, je n'avais pas fini ma dernière bouchée qu'il avait mon assiette en main, je me suis même demandée si il avait hâte que je parte jusqu'au moment ou il nous a demandé si nous allions revenir demain pour le calmar, c'est alors que j'ai dit sûrement en regardant ma mère qui raffole des fruits de mers, no réservation no réservation 7, 8 ? qu'il répétais en fessant signe d'aller le voir directement. Ok! 8 gracias. C'est alors que le lendemain 8 heures il nous attend et nous dit sorry no calmar tonight but tommorow, tonight italian! Stay, alors nous restons et je ne peux m'empêcher de la regarder de me dire que cet homme est étrangement familier même si je ne l'ai vu que la veille, il reviens vers la table et nous parle un peu et ma mère lui demande quel fruits de mer il aime et il répond a ma grande stupéfaction qu'il n'aime rien qui viens de la mer puis que ça goûte le... caoutchouc que je m'empresse de rajouter alors qu'il dit exactement la même chose. Ma mère éclate de rire puisque je dit ça depuis l'âge de 5 ans.

Les journées passent, je lui jasent de plus en plus chaque jour les coïncidences sont alarmantes, l'avant dernier jour alors que je l'écoute assidûment je me répète dans ma tête en fixant ses lèvres que je doit l'embrasser avant de partir, il le faut! C'est au même moment qu'il me dit je sais que tu part demain mais est-ce que je peux te demander une chose? Oui, oui! Est-ce que je peux t'embrasser. Comprenez que j'étais sur le choc total et que tout ce que je pouvais faire c'était de hocher de la tête, en l'espace de trois secondes il avait traversé de l'autre côté du bar étais a deux pouces de mon visage et me dit viens me prend par la main pousse la porte sous-marin de la cuisine m'accote contre le mur et m'embrasse jusqu'à ce que les genoux me lâche, réalisant que je suis dans l'entrée de la cuisine d'un complexe hôtelier avec le mystérieux barman/serveur dans un pays qui n'encourage sûrement pas ça, je sort et me rassois a mon tabouret et je vois ma mère au loin se rapprocher du resto-bar faisant mine de rien il prend mon verre me fait le meilleur drink au monde salue ma mère lui fait un drink aussi c'est alors qu'elle me dit je vais aller lire un peu dans la chambre tu viens? Non je vais aller te rejoindre un peu plus tard.

Elle quitte , il me souri, je fond, il me dit qu'il veut encore goûter a mes lèvres, je part vers les toilettes, il me rejoins éteint les fluorescents et va dans celle des hommes j'entre quelques secondes après le planque contre le mur et me retourne sans jamais lâcher mes lèvres me pousse vers la cabine de toilettes, j'ai le costume de bain trempé, ses mains sur mes seins, son sexe dur près du miens, mes jambes qui sont aussi mou que du spaghetti, j'en veux encore, je veux qu'il me prennent ici, je veux déchirer son uniforme, je veux sentir son pénis en moi le claquement de ses hanches dans mon entrecuisse, il fait chaud.

La lumière s'allume, son superviseur! FUCK!!! Il part je reste la un moment pour retrouver mes esprits, je sort en me faufilant vers l'arrière de la bâtisse je longe le corridor dessert, jusqu'à se que j'aperçoive son terminus au loin et lui qui y monte, je retourne a ma chambre, me laisse tombé sur le lit, un ça va? retenti derrière les rideaux du balcon.. hum hum, je vais prendre ma douche c'est bientôt l'heure de notre réservation. Je part demain, et demain il y en aura une autre chanceuse qui aura droit au meilleurs drinks, au meilleur service, au plus beau sourire, mais surtout au meilleurs baiser.

It all started

When I was about 8…

I discovered the greatest pleasure in the world… Masturbation

With a single stroke of a hand I had found a way to give myself shivers

I realised that going to bed was a hole different story, I would slip under my covers and gently rub my stomach and gently slip one hand in my underwear…

Then came the young neighbors

boys and girls I might add

I would convince them to rub each other as a game. I used to love to be in control and get people to do what I wanted, I always choose the weak ones, well not weak but easily convinced…

The expression PLAYING DOCTOR was a daily ritual to me I even bit someone who didn’t want to play when I was 4…

Sexuality is a big part of my life might as well deal with it

Welcome

You are about to see what is behind my closed curtains…

You will witness my out most fantasies… I will bare all… My soul will become as transparent to you as water in the clearest way you can imagine…

What I will reveal in times will be what I only know and never shared…

One thing is obvious I ain’t no angel

I’m Elisabeth Nice to Meat You!

Welcome to my world