lundi 26 juillet 2010

Cette senteur cette drogue

Quand tu es jeune, en pleine croissance et les hormones dans le tapis tu te es prête a n'importe quoi pour un gars. Comme pédaler 20 kilomètres avec une bicyclette beaucoup trop petite, mais l'avantage d'une bicyclette trop petite c'est définitivement les frottements du vagin contre le siège. Je m'étais finalement rendue au petit village voisin les jambes molles, les sous-vêtements prise entre les lèvres, il était venu me rejoindre avec son vtt, on avait caché ma bicyclette dans une partie du boisé tout près de la route de terre.

Agrippé a son chandail, les vibrations du moteur, le cuir du siège était assez pour me donner l'envie qu'il s'arrête la, mais j'avais une certaine crainte, je n'avais jamais eu un homme en moi. Il s'est arrêté dans une clairière à mi-chemin entre le boisé et sa maison, il me parlais de choses qui le passionnais, de sa cabane de chasse, puis tout à coup. Il s'approche soudainement et m'embrasse dans sauvagement en m'adossant a un arbre, quelle force il avait on était loin des caresses douces de mes voisines. A ce moment j'ai eu ma première dose de testostérone, la clairière en débordais, j'avais l'impression que cette sensation allais rapidement devenir une drogue.

Aujourd'hui je la sens des miles a la ronde, ça ne s'explique pas vraiment mais certains homme en dégage beaucoup plus que d'autres et chaque fois je mouille instantané.

Avec nos visages remplis de boue nous avons continuer notre chemin vers sa maison, il n'y avait personne, il est allé prendre sa douche, j'ai voulu aller le rejoindre, j'étais de l'autre côté de la porte la main sur la poignée prête à aller le rejoindre, mais j'étais si débutante, si il ne me trouvais pas belle, je ne savais pas comment réagir, figée dans l'inexpérience qui m'habitais, je voulais me déshabiller me glisser derrière lui et le masturber doucement...il avait fini, j'ai accouru dans sa chambre.

- Ah ça fait du bien! qu'il a dit
- J'ai pas de linge de rechange
- Attend je vais te prêter mes boxer pis un chandail, si tu veux y aller

J'ai pris son linge je suis rentrée dans la salle de bain a mon tour, j'ai partie l'eau, toute nue j'ai collé son linge sous mon nez elle était encore la son odeur, la testostérone fraîche et un mélange de sunlight, je suis restée ainsi un bon 2 minutes avant d'entrer dans la douche avant de me laver aussi rapidement que possible, si cette senteur venais de lui je me devais d'enfoncer mon nez dans le pli de son cou le plus rapidement possible. J'ai enfiler son linge et gardant le col de son chandail près de mon nez en sortant de la salle de bain.

- Ça pue? qu'il ma dit visiblement craintif
- Non, non ça sent vraiment bon
- Ma mère prend du sunlight
- ça sent le sunlight mais c'est ta senteur que j'aime encore plus
- Ma senteur???

Les rôles se sont inversé assez rapidement, j'avais enfin retrouvée ma drive de prédateur, en m'approchant vers lui doucement j'ai senti son cou, je l'ai embrassé doucement dans le cou, mordiller son lobe d'oreille en lui chuchotant ta senteur me donne envie d'être tannante. J'ai n'ai rien eu a rajoutée il m'avais prise dans ses bras et m'avait emmené sur son lit en m'embrassant passionnément et férocement, je l'ai retournée, j'ai embrassé son corps encore un peu mouillé en longant le début de pilosité qu'il commençais a avoir jusqu'à l'élastique de ses boxer, son sexe était dur comme de la roche, je n'avais jamais fait de fellation avant mais j'y suis allée quand même avec douceur au début tournant ma langue doucement autour de son gland, le long de sa verge j'ai léché son sac, que j'ai agrippé en le massant et j'ai enfoncé sa verge dans le plus profond de ma gorge l'entourant des mes lèvres, ses jambes on raidi ses orteilles courbée mon fait comprendre que j'étais pas si mal, donc j'ai continuée en activant en m'imaginant sucer un gros popsicle, ses genoux se sont mis a claquer ensemble, les spasmes dans ses jambes sont dos était abasourdissant, il a éjaculé dans ma bouche au même moment, j'ai tout avalé.

- Oufffffff! On a affaire a une experte.
- Euh.. c'était ma première fois, j'espère que je t'ai pas fait mal
- Mal! Mais attend la ta dit que c'est la première fois que tu suce?
- ....ouin
- My god
- Quoi
- Tu suce ben en tabarouette
- ..... merci, t'aurais tu quelque chose a boire?

Il ma regardé le sourire aux lèvres couché dans ses draps de satins s'est levé est revenu au bout d'un moment avec une débarbouillette mauve et un verre de jus de raisin, les deux affaires que je déteste le plus au monde, mais je m'en foutais, j'ai calé le verre en me disant que le sperme c'était amer mais ça doit être chiant avoir ça collé partout quand tu te branle, alors c'était pas si pire.

- merci
- j'ai une question?
- quoi
- est-ce que t'es encore vierge?
- ben... ben j'ai jamais couché avec un gars au complet la
- ....

Son sourire en disait aussi long que ma soudaine gêne, il ne voudrais plus de moi parce j'ai pas assez d'expérience! Il ma interrompu dans mes pensée avec un bec dans le cou et un maudit que t'es belle. Ma couchée sur le dos, ma embrassée si tendrement, il a jouer dans mes cheveux. J'en avais des frissons, sa senteur si près de moi me rendais folle, je voulais pour la première fois qu'il me fasse l'amour, je voulais m'abandonner complètement dans ses bras, il a enlevé son chandail que je portais après avoir glissé doucement ses mains dessous et caressé mes seins, ensuite ses boxers ont suivi, il me regardais droit dans les yeux. Me demandais si j'étais correcte en glissant ses mains sur mon ventre, mes hanches. Fait moi l'amour que je lui ai dit. Il se perché au dessus de moi et s'est lentement inséré en moi. La sensation que j'ai ressenti a ce moment la indescriptible, un mélange de frissons, de serré, de durcissement, un pouls. Il allais et venais en moi si délicatement en augmentant la cadence. C'était tellement bon, les draps de satin dans mon dos, sa senteur, son sexe dur, les draps était trempé, je ne voulais pas que ça finisse, j'ai agrippé ses hanches en le suppliant entre deux trois respire profond d'y aller plus fort, j'ai agrippé l'oreiller d'une main, je l'ai mordu, l'autre sur son torse, je sentais son coeur battre a tout rompre à travers sa peau moite. Au bord de l'orgasme j'ai criée DÉFONCE MOI!!! Mon dos a courbé et je suis venue au même moment que lui. Quelle première expérience ce fut.

Quelques heures plus tard j'ai retrouvée ma bicyclette et je suis rentrée à la maison pour voir que ce n'était pas juste moi qui avait eu droit a un déluge, le saguenay aussi. On es sorti ensemble pendant un bout, mais je me suis rendue compte avec le temps que je l'utilisais plus physiquement qu'autre chose, il s'attachait je me détachais, je voulais sa queue c'est tout. Il était le premier d'une longue lignée de ceux qui s'attacherait sans que moi j'en trouve la capacité d'en faire autant. La senteur m'attirais vers eux...

3 commentaires:

  1. Une odeure peut tellement être un aprhodisiaque.

    Le Nez: D'ailleurs, je suis d'accord pour dire qu'il y en a qui influence grandement...

    L'Pénis: MOI ! :P

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  2. J'adore les histoires de premières fois.
    Merci

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