dimanche 1 août 2010

Hypocampe et Coquillages

Comme l'expliquais si bien le salaud dans son billet sur la canicule. Baiser en canicule c'est un must.

L'été de mes 16 ans, j'étais partie en vacances avec mon père et mon frère dans le sud des États-Unis. Sachant très bien que je serai probablement entouré de gens plus âgé que mon père j'avais pris soin avec ma naïveté d'adolescente de me trouvé une queue de voyage sur le net quelques jours avant mon départ. J'avais trouvé le candidat idéal, mais je devais le rencontrer avant puisque dans ce temps là, je n'avais pas de webcam je ne suis même pas certaine que ca existais.

On s'était donné comme point de rencontre le centre commercial tout près à 13h. J'avais enfiler mon premier maillot deux pièces turquoise avec des hippocampes et des coquillage et une petite robe soleil blanche, en sortant j'avais longée le grand miroir et je crois que c'est la fois ou je m'étais trouvée le plus bandante. Je traverse le boulevard la tête haute un peu trop même je regardais les nuages en formes de boules de ouates, j'allais retrouvée le grand au chandail gris. Mes petites gougounes flick flackais sur le plancher de marbre crème de l'immense centre commercial jusqu'à l'immense plan devant moi. En posant mon doigt sur la liste j'ai vu que l'arcade était juste a droite, j'ai penchée ma tête pour l'apercevoir qui m'attendais impatiemment. Je me suis cachée aussitôt, m'adossant à l'immense panneaux, j'ai fermé les yeux en me demandant qu'est-ce que je pouvais bien être en train de faire a 3000 miles de chez nous à rencontrer un pur inconnu. Soudainement le danger m'excitais en regardant une autre fois j'ai pu l'apercevoir comme il faut, le visage de Paul Walker, les cheveux blond court frisé, mince. J'ai pris mon courage a deux mains et je suis allée le rejoindre.

Dans le miroir j'étais vraiment sexe, aucune raison qu'il ne veulent pas de moi et sinon ben tant pis il doit ben avoir un ami semi-moche dans l'arcade. Il me fixais, j'ai bombé ma poitrine comme appât sorti mon sourire colgate.

Hi David?
Uh Uh Uh Uh Y yyyeah!
I'm Eli, what do you want to do?
Uh Uh Uh walk?

De nulle part mon rire blondasse est sorti, sois il bégayais sois il voulais partir en courant ou sois son coulis de bave qui le trahissais et ses yeux fixé a ma poitrine le rendais complètement hors de lui. On s'est promener, il es devenu plus a l'aise, on a fumé un joint dans un petit boisé tout près du centre commercial et on a pris l'autobus jusqu'à chez lui.

Vingt cinq minutes plus tard il me prend par la main et me fais descendre dans un parc de maison mobile digne de plusieurs films de gangster américain. On entre dans la deuxième, la verte, celle qui a du contre plaqué dans les fenêtres avant. Je ne dis rien mes yeux ne cesse d'emmagasiner le décor, des boites partout empilé jusqu'au plafond, des milliers de guguses, des bibelots et dans toute ce fouillis un dame maigre d'une quarantaine d'année se berce dans sa chaise avec une clope à la main et me fait un bonjour tremblant de la main. J'ai stoppé, je me suis fais une place sur le vieux divan parmi les journaux, les magasines. Je lui ai jasé, une femme maltraité par la vie, une qui vivais dans ses souvenirs accumulé avec le temps Il ma regardé stupéfait, ce n'est que plus tard que j'ai su que sa mère ne parlais jamais a personne, personne ne l'approchais jamais.

Un peu plus tard on es allé dans sa chambre, il a mis ses cd's de musique de hard rock/métal. Il était beau, il faisais hyper chaud tellement que ma robe était littéralement collé a ma peau. Il ma embrassé nerveusement entre deux fous rires. La chaleur était insupportable, j'ai enlevé ma robe, il a enlevé son t-shirt et ma littéralement sauté dessus, ses hormones était cavales. Il a défait les lacets de mon haut de bikini et a mangé mes seins comme un déchainé, je sentais la sueur coulé le long de mon dos. J'ai glissé ma main dans ses shorts j'ai agrippé ses testicules ensuite sa verge. Le train était parti rien n'aurais pu l'arrêter. Il a arraché le bas de mon bikinis et me tapais la vulve avec sa verge, m'agaçais il riais.

You want it!
Give it to me...
Nah han
Please(long soupir) please give it

Il continuais de m'agacer en massant fermemant mes seins. Je me suis rassise.

Now you give it to me or..
Or what?

On avais les cheveux trempé, la sueur nous dégoulinais partout.

Or I'll rape the living shit out of you!

En m'approchant, il ma tiré vers lui et ma assise directement sur sa grosse queue dure, si violament que j'ai lâché un de ses cri de jouissance jusqu'à aujourd'hui inégalé. Elle était si profonde si dure nos corps glissant en parfaite harmonie comme si nous étions remplis d'huile. L'excitation était palpable, il défonçait ma petite chatte comme jamais, mes mains grafignais son dos, je tirais ses cheveux, je l'ai même mordu. Il ma ensuite prise par en arrière me tirant par les cheveux, les hanches, je sentais sa poche claqué contre mon clitoris. J'avais des frissons a 40 celcius, mon corps était raide, il a hurlé il est venu sur mon cul quelques secondes après que ma chatte hors de contrôle et ultra sensible s'est contracté au point de trembler de jouissance. On s'est effondrés sur son lit et on a ri en chœur. J'ai repris l'autobus, je suis repartie chez moi le lendemain et je ne l'ai plus jamais revue.

La chaleur et les canicules c'est ca que ca fait, peu importe avec qui et ou.

2 commentaires:

  1. C'est vrai que de baiser lorsqu'il fait chaud, c'est tellement bon... les corps glissent, de partout... MmmMm. désolé, j'me laisse emporter.

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  2. ton corps a toute les raisons de se laisser emporter :P

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