mardi 10 août 2010

Méchandre et le Midnight Dungeon

J'habitais toujours chez ma mère à l'époque ou nos échange cochons sur internet on débuté. Des les premières lignes ma petite culotte mouillais, avec toutes les choses que je lisais je ne pouvais m'empêcher de me masturber, pour la première fois mes sens ne suivait plus tellement j'étais excitée, je devais te rencontrer.

Quand j'ai su à deux heures du matin que tu habitais a moins de cinq minutes de chez moi, je n'ai même pas hésité deux secondes, j'ai enfilée ma jupe la plus courte, ma camisole blanche qui laissais apercevoir vulgairement mes mamelons.

Une maison digne d'un film d'horreur, bâtit dans les années 60 avec un trottoir sinueux qui menais vers ta porte. L'idée qu'il pouvais m'arriver quelque chose de grave a suscité en moi une excitation hors du commun, je n'étais pas du tout effrayé. Tu a ouvert la porte et je t'ai aperçue.

Ouf!! Quel homme, pas un de ses minables petit garçons que j'avais eu auparavant, un homme un vrai, bâtit comme un cheval, à la carrure d'un joueur de football, une mâchoire carré avec une barbe de quelques jours, le poil chez un homme m'excite me rappelle la senteur, de la testostérones pure.

Tu m'a invité à rentrer, ma offerte un verre de vin, voulant faire une demoiselle de moi j'ai accepté en sachant très bien que je détestais le vin, cet arrière goût amer je ne mis habituerais jamais. Puis je t'ai demandé

- Est-ce que tu aurais du fort à la place
- ...Oui mais juste du Jack Daniels, que tu ma répondu surpris le sourire au lèvres
- Good.. un double sur glace si tu en a
- La demoiselle aime ca ruff qu'il ma dit en sortant les glaçons du congélateur
- Tu n'a pas idée a quel point, ai-je répondue

Tu a versé deux verres, pendant que je t'examinais comme une bœuf de qualité triple A en me mordant les lèvres. Lorsque tu ma tendu le verre en se dirigeant vers ton canapé on discutais de tout et de rien, en s'effleurant de temps en temps. Le décor était sombre mais tellement excitant, le bruit de la musique en arrière plan me donnais envie de toi. Tu t'es approché de plus en plus en glissant ta main sur ma cuisse et tu a agrippé ta caméra sur la table devant toi pour photographié les parties que tu découvrais unes a unes. J'étais complètement sous ton charme, comme un cobaye. Tes grandes mains parcourrais de nouveau mes jambes délicatement,tu a déposé ta caméra lorsque j'ai commencer à parcourir le tiens.

Tu a fais glissé mes culottes tout en m'allongeant sur le canapé, tes lèvres se sont approchés de mon clitoris et tu a délicatement tourné ta langue autour de mon clitoris, j'avais des spasmes, des frissons, tu m'agaçais avec ta langue de façon a ce que j'en veulent toujours plus. Je t'ai repoussé violemment j'ai littéralement arraché ton chandail, défait ta ceinture et en deux temps trois mouvement tu étais en boxer devant moi, j'ai glissé ma main dans ton boxer pour découvrir la plus grosse queue de ma vie. Tu ma transporté dans tes bras jusque dans ton lit ou tu ma étendue tout en m'embrassant le cou, le torse et tu mangeais mes seins si délicatement et perversement en même temps, mon corps hurlais de plaisir, tel des chocs jusque dans ma colonne et mes orteils, le plaisir que tu me donnais était indescriptible. J'ai ensuite pris ton énorme verge dans ma bouche, il n'en a pas fallu longtemps pour que ton corps réagissent de la même façon que moi quelques minutes auparavant. La lueur des blacklight reflétais sur chaque partie de ton corps comme un bonbon prêt a être savouré j'ai parcouru avec ma langue chaque pouces de ta peau, je te voulais en moi terriblement, mais je voyais a quel point tu étais hésitant. Tu avais surement déjà fait mal a quelqu'un avec ton énorme boyau. Je t'ai sucer et tu me mangeais, parfois tu venais chatouillé l'ouverture de mon vagin avec ton gland rouge feu, tu m'embrassais et on continuais a se manger mutuellement jusqu'à l'orgasme le plus violent de ma vie et se après de multiples jouissance.

Même si tu ne m'a jamais pénétré, je peux aujourd'hui t'avouer que toi Méchandre tu es l'homme qui n'a jamais été dépasser, non par la taille de ton sexe, mais par tes milles autres façons de m'avoir fait découvrir l'excitement, l'envie et surtout qu'une femme se doit de se faire découvrir au moins une fois par toi dans sa vie. La chimie sexuelle entre deux personnes est indispensable au bonheur sexuel. Même si encore aujourd'hui je rêve de ta verge en moi et que je ne te reverrai surement jamais parce que la vie est faites ainsi, je garde de toi le plus beaux souvenir celui du premier baiser a me faire perdre mes moyens, a me rendre les genoux mous, la chatte en feu et les yeux remplis de feux d'artifices.

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