jeudi 22 juillet 2010

L'été de mes 12 ans

Sur ma rue il y avait une dizaine de filles de mon âge avec qui je jouais tout le temps depuis mon arrivée à l'âge de 5 ans. Quand la puberté est arrivée que mes seins ont gonflé au point de bien remplir une main d'homme, mes hormones était pris dans le disco-ronde je voulais touché à tout ce qui était de la chair, surtout celle des jeune filles de mon entourage, je voulais être la "player" de toute la rue, lécher les petits seins pulpeux et dur de mon voisinage, glisser ma main dans leurs petites culottes fraisinette, jusqu'au jour ou j'ai invitée la première fille avec qui j'avais été amie en déménageant sur ma rue.

Elle était si belle, si tentante, je n'ai pu m'empêcher de la complimenté sur ses beaux seins, je lui ai posé des questions sur sa brassière qu'elle ma montré sans même hésiter, elle en était si fière. Je me suis alors mise derrière elle avec le prétexte de savoir comment sa s'attachait puisque j'ai seulement des brassière sport, je lui ai lentement détaché, j'ai caressé sa nuque, glissé mes mains au travers de ses long cheveux, la tentation était palpable, ma petite culotte était trempé. Je lui ai alors chuchoté à l'oreille ferme tes yeux, je lui ai retiré délicatement son soutien gorge, j'ai embrassé son cou et agripper délicatement ses seins, elle s'est retourné vers moi, je croirai que mon règne sur la délicate petite voisine était terminé, juste avant de pouvoir m'excuser de l'avoir touché comme j'en avais rêvé, elle a touché les miens et on s'est embrassé, mon coeur battais si fort que je le ressentais dans les parois de mon vagin, je l'aurais agrippé si sauvagement, adossé contre le mur, mais elle était si fragile. C'est la que je lui ai retiré sa petit culotte et touché maladroitement sa petite vulve qui ne demandais qu'a être défoncé. Ce que j'aurais donné a cet âge la pour avoir un pénis, pour la dépuceler sur le champ. J'ai alors retiré la mienne je me suis étendue a ses côtés dans mon lit pris sa jambe l'ai tiré vers moi pour former un début de ciseaux et nous nous sommes embrassé, touché, caressé, frotté jusqu'à ne plus être capable de supporter nos frottements.

Elle est partie le sourire au lèvres ce qui ma soulager puisque tout le long l'arrière pensée d'être entrain de prendre avantage d'elle, de l'avoir entraînée dans mes filets pour ma propre satisfaction était présente. Elle n'aurais pas du sourire, parce que ça m'aurais empêcher de recommencer la même chose sur le reste du voisinage, mise a part une qui n'a jamais succombé. J'allais commencé le secondaire et la plus part des gens avaient peur de leurs rentrée la mienne était synonyme de plusieurs autres "victime de ma séduction". J'allais pouvoir expérimenté la vie avec plusieurs autres jeunes, touché de la chair fraîche et peut-être pouvoir sentir une vrai queue en moi mais avant je me devais de prendre de l'expérience, apprendre comment faire succomber les autres a la tentation de la chair fraîche.

2 commentaires:

  1. Mademoiselle, je vous découvre c e matin par le biais du blog de Luna. J'adore ce que vous écrivez. Je reviendrai.

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  2. mmm nos premières expériences avec nos voisines se ressemblent beaucoup...j'adore, ta façon de le décrire me fait mouiller. j'aurais aimé t'avoir comme voisine, que tu puisses profiter de mon corps... :)

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